Malheureusement, je n'écris plus beaucoup en ce moment (faudra bien que je me secoue!), alors je poste un trèèès vieux poème que j'ai retrouvé par hasard il y a peu de temps. Pardon!
Par delà le château en ruine du vampire en putréfaction,
Un mince espoir se dessine pour les âmes en perdition.
Sur les planches moisie du temple du Grand Réseau,
Isolés et maudits de part la rouille qui les rend beaux,
Des clous tordus se dressent, n'ayant que la pointe enracinée dans le bois,
Ceci n'attisant que plus le désir qui les oppresse: pouvoir toucher de nouveaux horizons du doigt.
Et même sous les coups de marteau, furieux outil des partisans,
Ils ne feront que plier le dos et ne s'enfonceront pas plus pour autant!